Thierry
Avec mon Pc, je me sens plus en confiance ! J’utilise mon ordinateur car je suis une scolarité par correspondance (CNED). L’ordinateur est plus pratique, plus propre, plus agréable à relire.
J’écris directement sur le pc et je me relis mieux sur un écran que sur une feuille.
Surtout, j’écris plus rapidement avec le clavier qu’avec un crayon.
Cela me demande moins d’efforts et je comprends mieux ce que je lis.
J’utilise Microsoft Word, Antidote et Géogébra car Isabelle m’a appris à les maîtriser. Merci à elle pour sa patience et sa gentillesse car sans elle, je n’y serai jamais arrivé.
Ludivine
Un grand merci Isabelle pour tout ce que tu m’as appris et apporté dans ma vie ! Tu es la personne qui m’a aidée dans mes projets et j’ai réussi grâce à toi !!! Continue de faire ce que tu fais, tu es formidable !
Coline
L’ordinateur a changé ma vie grâce à toi, Isabelle. Sans toi, je n’y serai pas arrivée… Nos séances par Skype sont super et je me régale tout en continuant à progresser.
Maude
Je remercie Isabelle et Mesdysdoigts pour m’avoir accompagnée en me donnant confiance en moi dans la maîtrise de mon organisation, de ma frappe et des applications informatiques qui me sont utiles aujourd’hui dans la compensation de mes troubles DYS. Sans crainte et sans stress, j’y suis arrivée !
Damien
Depuis cette année, après 1 an de cours informatique avec Isabelle, je peux faire mes devoirs, je prends mes cours, en gros, comme avec un cahier. J’ai mon ordi en 6ème dans toutes les matières. J’utilise ma clé USB pour les bilans, on a confiance en moi et quand j’ai fini, je mets tout dans la clé mais si les profs ne peuvent pas, j’envoie par mail. Je ne peux pas me passer de l’ordi, car pour moi, il faut déchiffrer ce que j’écris. Avec les cours du centre Mesdysdoigts, je tape très vite. Je comprends mieux ce que j’écris, il y a pas photo. Je me sers de Médialexie, il est bien ! Je fais moins d’erreurs et je vais encore mieux faire.
Olivier
Apprendre à lutter contre la dyslexie et ses autres handicaps, c’est se donner les moyens de faire ce que l’on veut de sa vie. C’est obtenir les clés pour comprendre ce que l’on lit, ce que l’on compte, ce que signifient les choses qui nous entourent. C’est acquérir les moyens de s’exprimer comme tout le monde. Lutter contre la dyslexie, c’est apprendre plus tôt que les autres certaines valeurs.
Sans toutefois la remercier, je dois concéder que ma dyslexie est un des éléments essentiels qui a permis de forger ma personnalité. Si cette déficience a, sur de nombreux plans, été un poids, et l’est toujours dans ma vie, elle m’a appris qu’un ensemble de difficultés ne doit jamais être abordé avec défaitisme.
Quoique celles-ci peuvent sembler indépassable, il faut tenter l’aventure de les défier. La dyslexie et autres déficiences qui peuvent atteindre un jeune durant sa scolarité ne sont pas des difficultés indépassables. Elles ne sont toutefois pas des handicaps que l’on peut effacer et la personne qui en est atteinte devra toujours lutter contre. Cependant, elles peuvent amplement être surmontées et réduites au silence dans la mesure où l’on compense ses effets néfastes. Pour cela, il faut disposer d’une aide de la part des professionnels avec lesquels on établi un rapport serein pour s’y attaquer. De plus, il faut que le jeune soit conscient du travail qu’il doit fournir. Les heures qu’il aura à apporter seront nombreuses mais les résultats, d’abord lents à venir, seront généreusement à la hauteur du labeur effectué.
J’ai été diagnostiqué dyslexique, dysorthographique, dyscalculique et dysgraphique lors de mon année de Cours Élémentaire, à neuf ans. Avant cela, j’avais déjà doublé mon année de Cours Préparatoire et je peinais dans la totalité des matières que l’on m’enseignait. La lecture était une épreuve, les séances de calcul mental une torture et mes tentatives d’écriture tenaient plus d’une œuvre de Picasso que de mots. Situation frustrante lorsque tous ces modes de communication et d’expression sont fermés, frustration qui se transforme rapidement en colère et agressivité. À la suite de mon diagnostic, j’ai été déscolarisé. Deux ans durant, je fus inscrit en hospitalisation de jour à l’Institut Saint-Pierre à Palavas-les-Flots.
C’est un endroit qui garde pour moi une forte ambiguïté comme étant le lieu qui, d’une part, m’a permis d’acquérir les outils nécessaires pour lutter contre ma dyslexie mais, d’autre part, le lieu où j’ai dû donner un travail abondant, souvent synonyme de déception. Bien que les classes soient aménagées de la meilleure façon, il n’en demeure pas moins que cela reste un hôpital, donc, un lieu d’appréhension et de réserve pour les enfants. Ma première année de scolarité à l’Institut Saint-Pierre fut mitigée. Je faisais des progrès visibles grâce aux soutiens pédagogiques de l’équipe éducative.
Un travail intense est demandé qui passe par des cours d’écriture, de lecture et de calcul adaptés mais aussi plusieurs heures d’orthophonie et de psychomotricité dans mon cas, parmi d’autres soutiens disponibles. Toutefois, mes progrès ne me satisfaisaient pas induisant une baisse de motivation. Confronté à cette situation mes parents et l’équipe éducative me mirent le dos au mur : j’avais des difficultés et bien que les personnes qui m’entouraient fassent ce qu’elles pouvaient, j’étais le seul à pouvoir me sortir d’affaires. Non sans pressentiment, je pris conscience que j’étais capable de m’en sortir par mes efforts. Ce fut le déclic qui me permit de remonter la pente.
Ici, on touche au point essentiel qui permet au jeune souffrant de dyslexie de se tirer des ronces. Il faut réunir trois éléments dans ce combat : l’aide de la sphère professionnelle, le soutien de la famille et enfin la prise de conscience par l’enfant qu’il est le seul à pouvoir fournir le travail indispensable. Le personnel professionnel est l’élément directeur dans la scolarité de l’enfant. La famille est l’élément rassurant, remotivant dans les moments de découragement, elle doit être très présente et garder un certain esprit d’indépendance vis-à-vis de la sphère médicale. Je n’ai pas la clé miracle pour donner à son enfant l’envie de s’en sortir, je peux tout juste dire que, dans mon cas, l’envie d’être un élève ordinaire et de pouvoir être capable de lire, écrire et compter seul, m’ont motivé. Pour moi, travailler maintenant signifiait être libre plus tard.
Ma seconde année à l’Institut Saint-Pierre, c’est passé plus sereinement à mesure que mes progrès prenaient de l’ampleur. Il s’est donc posé la question de ma réintégration dans un cursus scolaire ordinaire. Bien que mes déficiences en lecture et calcul aient été en partie compensées, je conservais toujours ma dysgraphie. Je devais donc être équipé du support informatique en cours. Toutefois, j’étais totalement inapte à l’utilisation d’un logiciel de traitement de texte, on était alors en 2002. Le dispositif permettant de posséder un ordinateur pour écrire est une idée adroite qui cependant ne sert à rien si l’enfant ne sait pas s’en servir suffisamment pour pouvoir suivre en cours. C’est ici que mes parents entèrent en contact avec le centre informatique d’Isabelle Girod-Charrière qui proposait des cours de formations adaptées aux troubles DYS. Ce fut un autre dur chemin à faire du fait de la rigueur à fournir pour pouvoir apprendre rapidement et correctement la dactylographie. Des exercices quotidiens et répétitifs. J’ai commencé les cours avec Isabelle en mars 2002 et en septembre de la même année, j’étais prêt pour être replacé dans un cursus scolaire normal en première classe du Cours Moyen. J’ai eu la chance de trouver une école qui m’accueillit sans difficulté malgré mon parcours scolaire chaotique et mon ordinateur. L’ensemble de l’équipe pédagogique me permit de m’intégrer en cours, sans subir d’exclusion de la part des autres élèves. Bien qu’étant redevenu un élève ordinaire, je bénéficiai toujours de séance d’orthophonie via une orthophoniste des Services d’Education Spécialisés et de Soin à Domicile (SESSAD) qui se déplaçait à l’école. C’est durant cette année de réintégration que les deux années de travail fournit furent récompensées. Je menais un parcours scolaire très convenable et, de plus, je découvris enfin que la lecture pouvait être non pas une besogne mais un plaisir. Les premiers livres que j’ai dévorés, avec plaisir, furent les Harry Potter. Une lecture facile pour un enfant ordinaire de onze ans mais une victoire sans nom pour moi, qui quelque mois plutôt, luttait pour lire « locomotive ».
La suite de ma scolarité ne fit qu’entériner ses premiers résultats positifs. Je passai au collège avec des résultats corrects. Mon intégration avec le support informatique fut globalement réussie. Chaque année, il me fallait renouveler les autorisations médicales pour pouvoir bénéficier du support informatique. Il est parfois difficile d’obtenir des rendez-vous avec les médecins dans les délais imposés par les examens, il faut donc s’y prendre à l’avance pour éviter les mésaventures qui, d’expérience, sont angoissantes. J’ai continué à prendre des cours d’informatique chez Isabelle pendant plusieurs années tant dans le but de maintenir mon niveau que par le plaisir que je prenais aux différents cours qu’elle dispensait.
J’ai depuis mon année de troisième arrêté tout soutien orthophonique et scolaire hormis le support informatique. Toutefois, mes déficiences n’ont pas disparues. Mon écriture reste toujours, pour une grande partie, illisible mais l’utilisation de l’ordinateur annihile ce problème, il m’arrive encore d’hésiter quelques secondes entre certaines orthographes de mots ou entre ma gauche et ma droite. La quantité de travail que je dois fournir pour atteindre un niveau de résultat similaire aux autres est plus importante. Il n’en demeure pas moins que je suis toujours aussi fier de moi lorsque mon travail paye. Pour ce qui est de l’intégration du support informatique en classe, il m’est arrivé de devoir subir la réprobation de certains professeurs restés à la « vieille école », pour qui la dyslexie n’existe pas hormis dans la fainéantise des élèves. Je dois concéder que ces remarques m’ont blessé alors que j’étais encore jeune. Être ainsi stigmatisé en classe et critiqué injustement par un professeur afflige une morsure assez désagréable. Face à de telles attitudes, j’ai abandonné toute colère ou rancune et je me suis décidé à leur faire mes preuves. Un professeur, aussi passéiste qu’il soit est obligé de reconnaître la valeur d’un élève lorsque celui-ci lui rend une bonne copie.
J’ai aujourd’hui vingt ans (janvier 2012) et j’ai de quoi être satisfait de mon parcours scolaire. J’ai obtenu en juin 2011 le bac série Économique et Sociale avec la mention Très Bien, diplôme qui a été suivie par la réussite aux concours des Instituts de Sciences Politiques. Désormais, les gens n’accordent plus d’importance au fait que je n’ai su lire qu’à dix ans au lieu de sept ou huit ans. Ces diplômes, pour moi, ne sont pas l’accréditation d’une normalité. Ils ne signifient pas « bravo, vous êtes devenu normal » accordé par l’Éducation Nationale. Ils sont les symboles du travail que j’ai été capable de fournir, qui m’a permis durant le lycée d’aimer mes études, me permet maintenant de « m’éclater » dans mes études supérieures et plus tard de choisir ce dont j’aurais envie de faire. Je remercierai toujours les personnes qui m’ont aidée, tant celles de ma famille que celles du monde médical et paramédical, et je les remercie également de continuer à aider d’autres jeunes.
Zorba
Depuis le début, j’ai toujours écrit très mal et très lentement et pendant que mes amis s’amusaient, je finissais d’écrire mon texte. La première fois que j’ai utilisé l’ordinateur en classe, tout le monde était étonné, je leur ai expliqué que j’étais dysgraphique, maintenant ils sont habitués.
C’est seulement en CE1 que l’on a découvert que c’était anormal, au début j’ai commencé à porter des lunettes, ensuite, j’ai vu toutes sortes de médecins (psychomotricien, orthophoniste, neurologue, ergothérapeute… ), puis j’ai eu le PAI (Projet d’Accueil Individualisé) et j’ai bénéficié d’un tiers temps à partir de la 6°, puis on a su que je pouvais utiliser l’ordinateur en classe et on en a fait la demande en 5°, j’ai fait de très bons cours d’informatique avec Isabelle en 4°, chaque mercredi après-midi avec des garçons de mon âge : au début, nous étions que deux, ensuite, nous fûmes quatre, et enfin nous arrivâmes à cinq. On écrivait des petites phrases avec une technique bien déterminée, on tapait la lettre qui tombait… Au début, j’étais assez lent mais après, ce fut vite fait, très rapide. On ne voyait pas le temps passer, on apprenait de nouvelles choses, notamment les raccourcis clavier qui me servent maintenant beaucoup. Souvent Isabelle me disait de baisser les épaules. Et maintenant, je suis en 3°, et après un long parcours, j’utilise l’ordinateur en classe.
J’utilise l’ordinateur chez moi pour lire mes mails, organiser mes dossiers et revoir mes cours, mais aussi au collège pour taper les cours en classe, dans toutes les matières sauf l’anglais (car il y a trop de documents) la technologie et la DP3 (car on utilise les PC du collège).
J’utilise une clé USB pour rendre les contrôles ou devoirs maison aux professeurs.
Ceci dit, je me relis plus souvent à l’ordinateur que sur un cahier. J’écris bien sûr largement plus rapidement sur un ordinateur et cela me demande beaucoup moins d’efforts, je me relis plus facilement, je me sens plus lisible, plus clair et mieux organisé.
Pour ce qui est des logiciels, j’utilise Open office, Dmaths, Lexibar, Geogebra ou Cabri geometre.
Ces logiciels me servent beaucoup : Open office pour ses nombreuses options et barres d’outils, Lexibar pour les signes espagnols, Dmaths pour les formules de maths et Geogebra ou Cabri geometre pour les figures de géométrie… En tout cas, ces logiciels me simplifient vraiment les tâches.
Si je devais donner des conseils à quelqu’un, ce serait de bien s’organiser en créent des dossiers, de laisser en veille l’ordinateur pendant la récréation plus tôt que de l’éteindre, laisser l’ordinateur dans son casier ou à la vie scolaire pendant la récréation, et ne pas oublier de baisser le son avant de l’allumer en classe.
Mes parents ont maintenant fait une demande d’utilisation de l’ordinateur lors des examens.
Merci Isabelle de m’avoir suivi, encouragé et d’avoir cru en moi tout au long de l’année dernière !
Victor
L’ordinateur m’aide beaucoup, c’est vrai ! c’est un outil très utile qui est magique pour moi !
J’utilise mon PC à la maison pour le collège et je tape les cours, là où l’on écrit beaucoup (histoire géo- svt- techno) et je l’utilise aussi en classe depuis ma rentrée en 6 ème en français-histoire –svt-techno.
Je me sers de la clé Usb de ma prof de français : exemple : pour un texte à trou, elle me donne sa clé, je fais un copier coller du texte sur mon ordinateur et je le remplis sur mon ordi.
Je préfère largement utiliser l’ordinateur que d’écrire à la main parce que je me fatigue beaucoup moins et je vais beaucoup plus vite.
Mon travail est plus propre et donc je peux plus facilement le relire. J’écris plus rapidement à l’ordinateur et c’est surtout plus visible. Je tape vite grâce aux cours et au soutien d’Isabelle sur le Tutoredattilo et sur Word.
Cela m’a libéré ! Donc j’ai plus de temps pour faire les exercices et me relire.
Je comprends mieux ce que je lis car à la main je ne peux pas me relire.
C’est plus clair, je suis moins stressé et mieux organisé.
Oscar
Si j’avais pris mon ordinateur en classe sans rien savoir, sans avoir reçu de formation, je n’y serai jamais arrivé et mon avenir serait resté fermer.
Je me sens complètement autonome : je suis très bien le rythme de la classe et je finis souvent d’écrire mes leçons avant tous les autres élèves.
J’ai 13 ans et j’ai suivi un programme scolaire normal jusqu’au CE1 puis je suis parti 2 ans dans un centre spécialisé pour enfants “DYS” qui se nomme l’hôpital St Pierre.
A la fin de ma deuxième année, vers le mois de Mars j’ai eu la chance d’avoir un ordinateur et j’ai commencé à suivre les cours d’informatique au Centre d’Isabelle.
J’ai suivi ses cours car si je voulais réintégrer une classe de CM1 normal, je devais savoir me servir d’un ordinateur.
Donc depuis le mois de mars, j’ai commencé à étudier différents logiciels. J’ai eu 6 mois pour me préparer à l’ordinateur pour la rentrée des classes de septembre. C’est peu ; en général il faut au moins un an pour se former…
J’étais vraiment peu sûr de moi, inquiet et dans… l’urgence !
Au début, j’allais au Centre informatique tous les mercredis. Chaque séance, je commençais par faire des leçons de dactylo. 2 ou 3 selon les séances. A chaque leçon, je tentais d’atteindre un petit objectif qu’Isabelle me fixait.
Je ne réussissais pas du premier coup, alors je persévérais jusqu’à parvenir au but fixé. Je devais aussi gardé les doigts bien à leur place sur le clavier, sinon je devais recommencer.
Isabelle me donnait aussi des exercices à faire pour le cours suivant pour consolider le placement des doigts et commencer à travailler la vitesse de frappe. Cela m’a permis de prendre mon ordinateur en classe et d’avoir un suivi scolaire normal.
Le jour de la rentrée de CM1 je n’ai pas pris mon ordinateur car je n’en avais pas besoin tout de suite, mais je l’ai emmené le deuxième jour.
Quand j’ai sorti mon ordinateur de mon sac et quand je l’ai ouvert, les têtes de mes camarades se sont tournées vers moi. Tout le monde m’a regardé.
L’institutrice n’est pas venue me voir pour me demander pourquoi j’avais un ordinateur car ma mère le lui avait expliqué.
J’ai donc écris les leçons normalement comme les autres, mais je ne les imprimais pas car au début je n’avais pas d’imprimante, je n’ai eu la possibilité de l’apporter que plus tard.
Quand la cloche de la récré a sonné, je suis sorti avec les autres élèves. J’ai été bombardé de questions sur les raisons pour lesquels j’avais un ordinateur.
Je leur ai répondu que j’étais dyslexique, cela voulais dire que j’avais du mal à lire, à comprendre ma lecture, aussi que je faisais des confusions de lettres et beaucoup de fautes d’orthographe, que j’arrivais à écrire mais avec des difficultés. Je leur ai surtout dit que l’ordinateur allait me faciliter l’écrit et diminuer beaucoup mes fautes car j’avais appris à me servir des différents correcteurs d’orthographe. Que j’en avais même créé un, personnel.
Dès le début de cette année là, j’ai réalisé qu‘une bonne organisation était indispensable. Donc, il fallait que je m’organise sur la classification des matières sur mon ordinateur : j’ai donc créé un dossier pour chaque matière sur le bureau de mon ordinateur et des sous-dossiers pour mieux classer, et m’y retrouver pour chaque semaine et chaque séquence de travail scolaire.
A chaque début de cours, je sortais mon ordinateur et je l’allumais, je le laissais d’abord au bord du bureau et je suivais le cours normalement. Quand je devais m’en servir, je le prenais et je tapais mes leçons.
Au début, c’était agaçant car l’enseignante ne faisait que me demander si je suivais le cours, et si elle n’allait pas trop vite pour moi.
Au contraire, je finissais toujours de copier ma leçon avant les autres ! Ainsi, je pouvais m’intéresser au contenu de mon travail du moment, et travailler sur une mise en page propre, aérée et mettre du surlignage sur les mots importants. Cela m’a beaucoup aider pour apprendre mes leçons ou rendre un devoir.
Avant d’utiliser mon imprimante, j’allais dans la salle informatique de l’école pour imprimer leçons et contrôles, après quand j’ai pu avoir mon imprimante, j’ai été plus cool car je n’avais plus à courir à travers tout l’école. Mon imprimante était installée sur une petite étagère derrière mon bureau. Pour imprimer, je n’avais qu’à mettre mon ordinateur sur l’étagère et envoyer l’impression.
J’étais souvent au fond de la classe car la prise électrique était placée généralement derrière.
J’ai souvent été seul sur un bureau pour deux parce que mon ordinateur prenait pas mal de place. Le fait d’être seul ne m’a pas dérangé, au contraire, je restais davantage concentré sur le cours.
Je suis aujourd’hui en classe de 6ème : il faut que je pense au chargement de ma batterie en permanence car dans certaines classes, il n’y a pas de prise électrique.
Maintenant je me sens dépendant de mon ordinateur et je sais que je ne pourrais pas m’en sortir sans. Cette apprentissage informatique m’a permit de reprendre confiance en moi, de m’intéresser plus à mes cours.
Plus que pour le collège, la formation d’Isabelle m’a donnée des nouveaux points de repères positifs : elle m’a permis d’aborder le problème scolaire en étant moins anxieux, moins décalé par rapport aux autres, moins découragé et j’ai pris conscience que j’avais autant de chance que les autres de réussir. Je me suis senti rassuré et enfin capable de surmonter mes problèmes.
Sarah
Je préfère l’ordinateur que le crayon car c’est plus propre et plus rapide, je n’ai aussi pas besoin de brouillon à l’ordinateur car on peut écrire et effacer autant de fois que l’on veut sans salir sa feuille.
Maman de Valentin
Merci Mille fois, Isabelle, c’est un concentré de bonheur et de réussites !
Maman de Julie
Grâce à l’enseignement des méthodes et outils informatiques d’OrdipourDys (Stéphanie Bénédé Mesdysdoigts) ma fille a acquis une technicité indéniable. Elle a gagné en autonomie de travail en classe et à la maison. Sa capacité à s’organiser a grandement évolué. Utiliser un ordinateur en classe lui a donné les moyens de compenser son handicap (dyspraxie et trouble attentionnel) et de s’intégrer dans une scolarité en milieu ordinaire. Toute cette démarche, nous a évité l’épreuve de l’échec scolaire. Ma fille a pu démontrer à l’éducation nationale tout son potentiel intellectuel.
Au-delà de l’apprentissage informatique, la qualité relationnelle proposée par Stéphanie Bénédé a contribué au développement de l’estime de soi de ma fille. Nous savons combien elle est vectrice de progrès, de confiance et de socialisation. De plus, Stéphanie Bénédé m’a accompagnée et soutenue tout au long de ce parcours.
Ma fille est désormais actrice de sa scolarité. Elle vient de faire sa rentrée scolaire en seconde générale.
Maman de Vincent
Chère Isabelle, je tiens tout particulièrement à vous remercier pour votre action auprès des enfants DYS qui leur apporte une confiance pas souvent reçue dans leur parcours scolaire.
Tante de Benjamin
C’est grâce à Isabelle qui dispense à Benjamin ses cours par Skype, qu’il est devenu autonome avec son ordinateur et qu’il a compensé ses difficultés, lui ouvrant les portes de ses véritables potentialités sans ce frein qui bloque des aptitudes bien réelles. Le travail effectué par Isabelle avec nos petites têtes blondes est sensationnel ; l’accompagnement et l’écoute qu’elle leur accorde, sont fantastiques. Elle parvient à leur donner les clés de la réussite. C’est un travail d’équipe qui porte ses fruits, alors merci à tous les deux et merci Isabelle pour tout ce que vous offrez à nos DYS.
Maman de Thierry
En tant que parents, nous avons été soulagés, il existait, enfin, des résultats positifs !!!
Mon fils a rencontré l’informatique, lors de difficultés scolaires vers 6 ans, difficultés qui ont confirmé par la suite une dyslexie, dysorthographie, dyscalculie.
La découverte de l’informatique a été un soulagement, une certaine facilité vis-à-vis à l’accès de l’outil. Dès la prise de cours informatiques avec Isabelle GIROD CHARRIERE, il a coopéré, effectué les exercices demandés. L’apprentissage du clavier lui a donné une rapidité dans l’exécution de ses devoirs, ce qui lui permettait d’être plus à l’écoute de ses enseignants.
Sa concentration et son attention étaient beaucoup plus soutenues lors des cours. Les progrès visibles, le rendaient plus sûr. Dans l’apprentissage de l’informatique, il y a tout un « panel » de découvertes qui s’est effectué, avec la guidance d’Isabelle, doté d’un vif intérêt de la part de mon fils.
D’où une meilleure humeur dans la famille Pour la 1ère fois, il nous parlait de « ce ou son » domaine informatique où quelquefois il semblait « exceller » et pouvait nous apprendre des notions d’informatique. De nombreuses années ont suivies … Mon fils a 20 ans aujourd’hui et ne peut se passer de l’outil informatique dans tous les domaines.
Je me répète : l’apprentissage du clavier facilite son quotidien et je rajoute qu’il fait l’admiration de certaines personnes non initiées quant à la rapidité de sa frappe. Acquérir, jeune, les bases (clavier, organisation des dossiers, etc… ) de l’outil informatique sera à vie un « plus » pour les « DYS ».
Maman de Benjamin
Grâce à sa dévotion et à son amour pour nos bambins, Isabelle parvient à leur raviver cette petite flamme intérieure qui sans son aide s’éteindrait, à leur redonner confiance, force et créativité. Grâce à la méthode d’apprentissage qu’inculque Isabelle à mon fils Benjamin, dyspraxique visio spatial, celui-ci est à l’aise durant les cours et au même niveau que ses camarades (15,5 de moyenne générale en 5ème).
Cela n’est plus un handicap pour lui mais un avantage. Il peut faire ses exposés en diaporama, il gagne en rapidité de prise de notes car il n’a plus besoin de s’appliquer à l’écriture qui, en temps normal, lui impose une concentration excessive et lui fait perdre du temps et lui inflige une douleur musculaire dans les doigts et le poignet.
Il va en cours la fleur au bout de l’ordinateur et le sourire aux lèvres, plus d’angoisses, ni d’appréhensions vis à vis des petits copains ou encore des professeurs, il revit et apprendre devient un plaisir, Isabelle a contribué à lui redonner confiance, à s’affirmer et à trouver sa place dans la jungle de l’apprentissage de la vie.
Sans Isabelle je ne sais pas comment mon mari et moi même aurions pu faire évoluer notre fils et lui donner ce courage qui le nourrit chaque jour et le rend meilleur. Notre fils fera son chemin comme tout à chacun sans peur du lendemain.
Merci mille fois à Isabelle pour ce bonheur retrouvé.
Isabelle Mathys Maman de Quentin
Je vous remercie pour votre travail pour Quentin… Je vous suis reconnaissante d’avoir été aussi bienveillante et d’avoir cerné toutes ses difficultés en si peu de temps.
Votre compétence et votre professionnalisme nous vont droit au cœur à mon mari et à moi.
Quentin est un garçon courageux, grâce à votre pédagogie il reprend confiance, et c’est un soulagement pour nous.
Un grand merci.
Maman de Ruben
Je suis tellement fière de mon fils Ruben qui décroche son bac littéraire avec mention Assez Bien 🙂 Isabelle, vous l’avez formé, encouragé et soutenu dans ce chemin. Vous avez joué un rôle important dans cette réussite 🙂 Merci !
Maman de Fabio
Fabio est toujours aussi ravi de vous voir et de suivre vos cours. Il met sérieusement à profit tous vos conseils. Quelle progression dans son travail ! merci pour votre savoir-faire !
Papa de Pierre
Nous sommes heureux d’avoir trouvé le centre de formation Mesdysdoigts pour notre fils Pierre qui a 10 ans. Isabelle, il prend du plaisir dans vos cours chaque semaine. Depuis qu’il a commencé votre formation, il reprend confiance en lui. Cette semaine, il a bien voulu amener son ordinateur en classe et le montrer à ses camarades. Maintenant, il veut l’amener tous les jours, c’est donc une belle progression importante sur tous les plans. Merci pour votre travail !
Maman de Jessim
Isabelle, votre patience, votre gentillesse et votre Pédagogie a permis à Jessim de prendre plus confiance en lui pour l’apprentissage de l’ordinateur. Je vous remercie et vous félicite pour votre dévouement et votre sensibilisation pour la cause des DYS. Bonne continuation et surtout, ne changez pas !
Maman de Maël
C’est avec beaucoup d’émotion que je vous envoie le bulletin de Maël du 2ème trimestre. Il a eu les encouragements du conseil de classe car il y a eu un changement vraiment notable. Je sors juste de la réunion parents-professeurs et ils sont unanimes pour dire que Maël s’est révélé. Il y a eu du travail, parfois beaucoup de travail mais il récolte enfin les fruits de son labeur.
Je tiens en tout cas à vous remercier de votre travail, d’avoir réussi à gagner la confiance de Maël afin que l’ordinateur lui donne une certaine assurance en lui.
Merci. Du fond du cœur merci.
Myriam
Bonjour Isabelle,
Je vous remercie pour votre professionnalisme et votre bienveillance tout au long de cette formation.
Prenez bien soin de vous.
Myriam
Hélène
Si ma carrière professionnelle d’orthophoniste a commencé en 68, elle s’est terminée ici, au Languedoc, par une autre révolution, totalement révolutionnaire pour moi : celle de l’informatique ! Merci, mille fois merci, Isabelle sans qui j’en serais encore à la crise de boutons …inutilisables. Merci pour son savoir faire dans le secteur de la pédagogie informatique destinée aux enfants (et aux adultes), car son année passée ici a laissé de nombreuses pistes exploitées dans nos ateliers informatiques pour les Dys.
Sandrine
La formation Mesdysdoigts est ….extraordinaire ! Au commencement, je ne savais pas trop ce qui m’attendait et j’étais loin d’imaginer qu’une formation en e-learning puisse être aussi riche en terme de contenu. Je suis enseignante à l’école élémentaire depuis presque 20 ans et les élèves DYS font maintenant partie de mon quotidien.
Ce sont des élèves volontaires et courageux et malheureusement, par manque de temps, de disponibilité et par manque de formation initiale, on ne peut pas les aider comme on le souhaiterait !
Concernant la mise en place de cette formation ; tout est progressif, pendant 2 mois vous serez un élève DYS, un apprenant. Les apprentissages sont donc progressifs, ils sont réinvestis et les notions sont systématiquement rebrassées de façon à être automatisées.
Isabelle, notre formatrice, nous fournit un suivi individuel avec de nombreux devoirs et exercices et, si comme moi vous n’êtes pas spécialement douée en informatique, aucun souci tout est tellement bien amené et expliqué qu’au jour d’aujourd’hui, je me mets à penser que l’ordinateur peut devenir mon ami !
Pendant 2 mois j’ai appris énormément de choses, de plus le parcours proposé est parfaitement cohérent avec les difficultés des enfants DYS et cette formation cible tout à fait leurs besoins afin de les rendre autonomes avec un ordinateur, et elle est pédagogiquement parfaite.
Merci Isabelle
Lydia
La Méthode Mesdysdoigts m’a offerte de nouvelles perspectives au cœur d’un parcours de formation, rythmé de leçons progressives, de quizzs, de devoirs à rendre, d’évaluations entre apprenants, d’échanges interactifs et conviviaux pour progresser tous ensemble… Merci Isabelle pour votre professionnalisme et votre soutien depuis deux mois…
C’est un réel plaisir d’avoir pu suivre votre formation « Se former pour enseigner au Dys » MESDYSDOIGTS EN-LEARNING, à mon rythme.
Virginie V.
Une formation professionnelle très enrichissante au profit de ces enfants qui méritent toute notre attention et notre savoir-faire ! Isabelle est d’une grande bienveillance et sa disponibilité et son écoute sont des atouts précieux pour vous accompagner tout au long du parcours de formation : Se former pour enseigner aux DYS. Bravo à elle ainsi qu’à toute son équipe !
Simone
Ce parcours de formation professionnelle Mesdysdoigts est très riche d’informations ! Il m’a permis de mieux cerner les troubles DYS, d’acquérir progressivement les compétences nécessaires dans la transmission des outils informatiques et pédagogiques adaptés aux besoins des enfants DYS. Bravo Isabelle pour votre investissement permanent et pour votre travail !
Virginie
Cette formation professionnelle est une « mine de pistes pédagogiques ». Avec Mesdysdoigts on se rend compte que l’on peut mettre en place des choses simples permettant de faciliter les apprentissages des élèves DYS !
Caroline
Un grand merci à Isabelle pour cette transmission de savoir ! Je suis sur le point de terminer cette formation professionnelle et je la recommande vivement pour tous ceux ou celles qui recherchent une formation complète, clef-en-main, avec un encadrement structuré. Isabelle est une personne très à l’écoute, disponible à tout moment ; j’apprécie son enthousiasme à partager son expérience extensive avec les enfants.
La formation fait découvrir de nombreux outils qui facilitent la pratique de l’informatique pour des enfants qui rencontrent des difficultés et pour qui le travail avec un ordinateur s’avère être primordial pour leur scolarité. Mise en pratique dans mon cabinet, la méthode fait ses preuves et les résultats auprès de mes petits patients DYS sont très encourageants. Mille mercis !
Aurélie
“Se former pour enseigner aux DYS” un formidable + dans ma pratique professionnelle d’ergothérapeute. Un accompagnement rapproché, pour évaluer les acquis, commenter, discuter et réfléchir sur nos parcours, nos attentes et nos objectifs avec des études de cas pratiques. Une entraide motivante, stimulante et efficace !
Une formation que je recommande car elle est souple, progressive et enrichissante ! Mille mercis !
Sarah
Si je devais mettre des étoiles pour noter la formation parentale Mesdysdoigts, votre écran scintillerait de mille feux ! Formidable formation qui fait sentir vos capacités et exprimer votre potentiel ! J’adore en tant que parent l’ayant suivie et j’adore voir mon fils multidys produisant un travail avec une telle confiance en lui !!! Merci Isabelle !!!
Valérie
Formation parentale très structurée. Un suivi exceptionnel. Une grande disponibilité de la part d’Isabelle Girod-Charrière !
Isabelle est d’une écoute attentive et partage volontiers de précieux conseils. Ses nombreux encouragements sont très motivants.
Cette formation est indispensable afin de pouvoir accompagner tout ces jeunes DYS vers une autonomie scolaire.
Je la recommande vivement car elle correspond vraiment en tout point à ce qui est annoncé.
Un grand Merci à vous Isabelle pour tout ce partage d’expérience
!
Nathalie
J’ai participé à la session du 13 novembre 2018, une formation suivie et très sérieuse.
Etant maman de 2 enfants Dys (dyslexique-dysorthographique et dyspraxique/dysgraphique), cette formation m’a énormément apportée.
J’ai commencé à former mon fils, dyslexique-dysorthographique, à l’ordinateur en cours de formation, avec les conseils et le soutien d’Isabelle Girod-Charrière notre formatrice. Isabelle est une personne très à l’écoute, disponible et d’un grand soutien.
Une formation vraiment nécessaire et très utile afin d’aider nos enfants, pour qui l’école n’est pas toujours facile .
Un énorme merci à Isabelle pour sa formation très claire, simple d’accès, progressive, son aide, ses conseils et son écoute.
Sophie
Comment dire, combien cette formation est géniale 🙂 ! Combien Isabelle est compétente, à l’écoute avec un savoir-faire pour enseigner, extrêmement professionnel. Merci, merci, merci. J’aimerais recommencer que pour le plaisir. Bonne continuation Isabelle !
Aurore
Si je pouvais cloner la créatrice de cette méthode, je le ferai ! Merci Isabelle pour votre dévouement, votre investissement, votre efficacité, votre disponibilité, votre écoute, merci encore une fois pour ce précieux outil qui permet aux enfants DYS d’exprimer tout le génie qui est en eux !!! On a vraiment besoin pour nos enfants de gens comme elle !
Marie-Hélène
La Formation parentale Mesdysdoigts en e-learning : Une belle avancée ! Quel enrichissement !!!!
J’adresse ces quelques lignes à toutes les personnes : parents mais aussi enseignants et autres professionnels qui accompagnent les enfants DYS, soucieuses de leur bien-être et en quête de solutions ajustées.
En tant que mère d’un enfant dysgraphique et dyspraxique visuo-spatial, j’ai pendant longtemps recherché le ou les moyen(s) qui me permettrai(en)t de l’aider à dépasser ses difficultés.
J’ai passé de nombreuses heures sur Internet à essayer de trouver les différents outils susceptibles de répondre à mes attentes, sans trouver une méthode réunissant de façon synthétique et efficace, ces différents outils.
Lors d’une évaluation de mon fils au sein de l’équipe médicale du centre PEYRE-PLANTADE du CHU de Montpellier, la psychomotricienne m’a indiqué une personne spécialisée dans l’enseignement des outils informatiques dédiés à tous les DYS.
Plusieurs stages de quelques semaines effectués par mon enfant au Centre de Formation Informatique MESDYSDOIGTS m’ont convaincu de l’efficacité de cette méthode.
Lorsque j’appris l’ouverture de la formation en ligne MESDYSDOIGTS pour les parents par cette même personne, je n’ai pas hésité longtemps à m’y inscrire.
Elle m’a permis de mieux appréhender les troubles DYS de façon générale, de mesurer les difficultés auxquelles est confronté régulièrement mon fils et par la même de mieux le comprendre et lui proposer au mieux les outils informatiques et pédagogiques adaptés à ses troubles.
Aujourd’hui la première phase de notre formation (apprenants) en e-learning MESDYSDOIGTS s’achève et la seconde phase d’accompagnement dans la réalisation de mes projets se dessine…
La méthode MESDYSDOIGTS nous entraîne à la découverte ou redécouverte de l’outil informatique selon une pédagogie adaptée aux capacités et aux rythmes de chaque enfant DYS, afin qu’il puisse mobiliser ses ressources, pour dépasser ses difficultés.
Hormis la prise en compte de ces dernières, la démarche d’accompagnement met l’accent sur les compétences de l’enfant DYS et privilégie l’établissement d’une relation de confiance entre l’enseignant et l’enfant qui progresse efficacement au cœur d’un environnement sécure.
Lors de cette formation vous serez guidés par une personne compétente et dévouée à la cause des enfants DYS. Vous pourrez apprécier l’humilité et la passion avec laquelle Isabelle GIROD-CHARRIERE initiatrice et créatrice de cette méthode, analyse et transmet ses connaissances. Tout au long de votre formation, vous découvrirez son esprit de travail à la fois souple et exigeant jusqu’à ce que vous atteigniez de façon calme et sereine l’objectif fixé.
Elle arrivera à ancrer en vous son amour pour cette discipline.
La méthode mérite d’être reconnue par nos autorités et Isabelle gagne à être connue.
Merci Isabelle !!!